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Un peu de tout, beaucoup de rien.

Un peu de tout, beaucoup de rien.
  • Bousculons les tabous, remettons de l'ordre dans NOTRE pays (Peu importe notre couleur). Subjectivité objective sur ma France en dérive. Faits d'actualités, mais aussi faits plus légers. Bon, ca part en cacahuètes l
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3 mai 2009

Bienvenue à tous.

 

FIN                        22                                    

Bienvenue si vous venez d'arriver. Vous trouverez dans ce blog toute la subjectivité du personnage, et tout ce qui le concerne, bref pas très intéressant, sauf si vous avez l'esprit ouvert. Toujours est-il que je vous retiens pas ici et si vous avez mieux à faire..   Ben qu'est ce que vous faites encore là?! Ça vous intéresse tant que ça?.

Je reprécise, et je pensais avoir été clair, que ce blog et surtout les articles "personnels" ne s'adressent pas aux inconnus ou aux personnes non-concernées. Ainsi, les personnes s'aventurant sur le blog sont priées de se diriger vers les articles prévus à cet effet et non aux autres, car bien entendu ma vie n'intéresse pas les inconnus (et je ne demande pas a ce qu'elle les intéresse). Je fais pas ce blog pour les visiteurs, je le fais pour écrire, pour moi, pour les gens qui m'entourent et qui ont partagé des choses avec moi. Ainsi les personnes m'étant étrangères sont priées de passer outre le blog, ou alors de se concentrer sur les articles publics. Voilà, je pense avoir été suffisamment clair. D'avance merci.


EN VENANT ICI, N'OUBLIE PAS TON SECOND DEGRE

Tu en trouveras un ici, si jamais tu n'en as pas.

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3 mai 2009

Que devrais-je changer sur le blog?

YO

Voilà, j'aimerais aussi votre avis sur ce que je devrais changer ou non sur le blog. Si les idées me plaîsent pas, j'en ferais rien, si elles me font réfléchir, je changerai.

0: NUL
1: Bôf
2:Mouais
3:Sympa
4:Bien
5:Super
6:Magnifique
7:Trop d'émotions

PS: Les deux derniers sont pour les gens de ma famille, donc je compte sur eux pour m'en mettre au moins un des deux lol. Putain, je me fashionise avec toutes ces conneries, c'est horrible, je vais être bon pour aller transposer ce blog sur sky :'( .

3 mai 2009

La recette du navet. (Twilight)

La recette du navet est simple.

Elle est tout particulièrement destinée aux enfants en bas-âge mais convient aussi aux adultes limités (dont je fais partie).

Cette spécialité est basée sur la déjà-connue "faire un film d'un livre à succès".

Tout d'abord, prenez un jeune auteur de livres guimauve et bourré de bonnes intentions.

Extraire les idées du livre de l'auteur dans l'ordre :

- Conte fantastique mêlant gentils vampires et lycéens paumés
- Histoire d'amour improbable
- Trou-du-cul du monde en guise de panorama.

Ajoutez une pincée de producteur cupide et peu regardant quant à l'embauche d'un scénariste manchot et d'un dialogiste sourd-muet.

Prenez une grosse cuillerée de mauvais effets spéciaux.

Mélangez le tout avec une poignée d'acteurs au charisme incertain mais capillairement intouchables et vous obtenez une soup... une recette aussi indigeste que publiquement acclamée.

Ci-dessous, la meilleure scène du film. (et encore elle a été tronquée)

Twilight

3 mai 2009

La recette du gloubiboulga. (Transformers)

Nouvelle recette. Le gloubiboulga est très en vogue depuis quelques temps.

Cette fois on prend comme support le dessin animé célèbre et sa licence bien juteuse déclinée sous toutes ses formes.

On commence par piocher dans la gamme des réalisateurs peu réputés pour leur finesse tout en choisissant un producteur en mal de succès depuis un certain temps.

On ajoute un maximum d'effets spéciaux créés par une filiale des opticiens Krys.

Mélangez ceux-ci bruyamment.

On pioche parfaitement au hasard chez les acteurs beaux mais abonnés aux seconds rôles (quand ils arrivent à en tenir).

On incorpore à la louche des morceaux bien punchy et totalement djeun's pour coller au mieux au public visé.

Ne pas oublier d'insérer le post-it faisant office de scénario. (peu importe l'ordre dans lequel vous l'ajoutez à la recette, toute façon on s'en fout)...

... Vous pouvez même ne pas l'ajouter du tout.

Vous secouez bien le tout et vous devriez obtenir une sorte de mélasse déjantée, colorée, complètement stupide et limite indigeste mais incroyablement pêchue, addictive.

A consommer sans modération.

14 juin 2008

Sait-on jamais.


essai

Plus dure sera la chute.

Princesse de Lulu©

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14 juin 2008

Prince of Persia

Le_roi



"Will not let you go" "Let me go"

Inside my heart is breaking

My make-up  may be flaking

But my smile still stays on

La "reine" a son roi. Queen

23 mai 2008

Petits soldats

Menu

Attention, chef-d'oeuvre. Développé par Relic Entertainment et édité par l'ex maudit du jeux vidéo: THQ, Company Of Heroes (COH pour les intimes) est un jeu de stratégie avec collecte de ressources (utile de le préciser car beaucoup d'autres jeux sur le même thème ne proposent pas ce système) se déroulant durant la seconde guerre mondiale. Un peu banal. Surtout que le jeu arrive avec l'ambition de détrôner l'ancêtre et référence: "Codename:Panzer" et doit en plus composer avec la sortie presque simultanée de Faces of War, autre jeu de stratégie prometteur basé sur la WWII. Autant dire que les éditeurs de Relic ont une lourde tâche à accomplir et pourtant ... le combat est gagné d'avance. Les premiers screenshots du jeu arrivent et le monde du jeux vidéo est en émoi. Jamais un jeu de stratégie n'avait encore proposé de graphismes aussi beaux, d'effets de lumière aussi bien rendus et d'animations aussi fluides. Ça c'est pour la forme mais qu'en est-il du fond? Et bien là aussi c'est une claque. Après quelques tours dans le didacticiel on prend enfin en main sa petite escouade d'ingénieurs dans le mode escarmouche (histoire d'avoir un aperçu plus complet du jeu) et on commence à collecter les ressources (Carburant, Munitions, Effectif) afin de construire ses premiers bâtiments de fantassins. Premier constat au bout de quelques clics, le tutoriel n'était qu'une infime partie des possibilités qui s'offrent à nous. En effet, et après avoir collecté suffisamment de ressources, on s'aperçoit bien vite qu'en plus de nous permettre de créer une multitude de soldats différents, le jeu permet aussi une customisation partielle de ses troupes, qu'elles soient blindées ou non. Une troupe de soldats vous paraît avoir quelques soucis avec une escouade ennemi?! Qu'à cela ne tienne, choisissez de les munir d'armes anti-char, de fusils de précision, de lance-flamme, d'explosifs ou bien de fusils mitrailleurs (et beaucoup d'autres choix) afin de les rendre plus efficaces au combat. Bien entendu, chacune des 4 classes du mode escarmouche/multijoueurs possède ses propres caractéristiques, ses forces et ses faiblesses ainsi que trois arbres de compétences différents comportant eux mêmes 6bonus utilisables moyennant finance. Une richesse incroyable, jamais jeu n'avait proposé autant de possibilités. Protégez vos soldats derrière des abris de fortune (Meules de foin, barricades, tas de bois...) et prenez le risque de voir ces derniers s'effondrer sous le feu ennemi laissant vos hommes à découvert ou bien mettez-les en lieux (presque) sûrs dans des bâtiments ou derrière des structures de pierres afin de renforcer leur défense. Des grades viendront récompenser les soldats les plus héroïques afin d'améliorer leur compétences offensives ou défensives tandis que vous bénéficierez de points d'expérience utiles à la répartition de points dans un des arbres que vous aurez, au préalable, choisi. Les environnement cohérents (plage, campagne, ville) et l'ambiance cinématographique du jeu renforcent encore plus cette impression d'être devant un monument de la stratégie en temps réel. Doté du moteur Havok (destruction totale de ce qui se trouve à l'écran et gestion des collisions ultra-réaliste) couplé au moteur Rag-doll (Gestion en temps réel des corps dans l'environnement d'où la traduction "poupée de chiffon"), le jeu est un régal pour les yeux. Ne vous inquiétez pas, les oreilles ne sont pas en reste: les tirs de mortier résonnent, les obus explosent, les bâtiments s'effondrent, les mitrailleuses sifflent... et tout cela rend le jeu immersif et encore plus impressionnant. La campagne solo dispose de 15missions dans le camp américain et on pourrait presque dire que le stand-alone Opposing Front surpasse l'original puisque celui-ci rajoute deux campagnes supplémentaires, dont une avec les très attendus allemands (le premier ne proposait de les jouer qu'en mode multijoueurs/escarmouche).La deuxième campagne, quant à elle, permet de jouer les troupes Britanniques. Opposing-Front propose aussi des graphismes améliorés puisque compatible avec DirectX10, les changements ne sont pas flagrants mais les rendus sont plus détaillés et les effets de lumière mieux gérés. Je ne peux même pas tout dire ou tout expliquer tant le jeu est d'une richesse incroyable et se place, pour ma part, au panthéon des jeux de stratégie. N'étant pas fan du genre, je dois dire que le travail accompli est insensé, époustouflant, sublime et qu'il doit se trouver dans la ludothèque de toute personne aimant les jeux vidéos, tout simplement. Si on devait citer quelques points négatifs, on pourrait regretter l'absence de "suivi" des unités (impossible de faire suivre un char par une escouade de soldats par exemple) et le fait qu'une troupe de soldats ne peut pas "lâcher" une pièce d'artillerie lourde (Comme des obusiers ou une mitrailleuse lourde par exemple) la contraignant ainsi à mourir (dans le pire des cas) l'arme à la main.  Les cinématiques sont-elles aussi une semi-déception car réalisées à partir du moteur du jeu (qui est pourtant superbe) le plus souvent, et l'absence des voix originales peut paraître absurde.
Si on peut faire abstraction de ces quelques défauts mineurs, COH est I.N.D.I.S.P.E.N.S.A.B.L.E.


4chars Blindés Britanniques au combat.

Arbrecomp_tencesamerArbre de compétences des américains.

Mg42amerL'arme la plus redoutable contre l'infanterie (MG42 allemande).

QGbritQG des Britanniques, le seul mobile.

SniperactionLe Sniper a repéré un ennemi.

Snipercamoufl_La compétence "camouflage" du Sniper.

SoldatPIATUn Ingénieur équipé d'une arme anti-char.

soldatsMortierLe terrible mais imprécis mortier.

secours Médecin portant secours à un soldat blessé.

flak Le FlakPanzer Wirbelwind des troupes blindées d'élite.

BattlefieldChamp de bataille une fois la partie gagnée.

Char_M26PershingChar lourd américain M26 Pershing.

M7Priest L'obusier M7 Priest des Britanniques.

Gore Du shrapnel bien utilisé.


 

21 mai 2008

City life.

danse

Avant 300, Franck Miller avait prêté son univers graphique si particulier et son goût prononcé pour les personnages torturés et violents dans le très médiatisé (et très encensé) Sin City, réalisé par Robert Rodriguez. Si on retrouve dans ce dernier le même côté "BD ultra-sanguinolente et sombre" du péplum de Zack Snyder, il en est tout autre concernant l'histoire et de l'environnement. Ici, chaque personnage a son importance dans le scénario mais aucun "héros désigné" n'est confronté aux autres histoires de la ville. Nous sommes plutôt en présence de plusieurs personnalités, différentes en tout point de vue, qui mènent chacune une quête vengeresse contre l'autorité et le pouvoir. Aucun réel méchant, aucun gentil aseptisé non plus. Ça nous change du manichéisme propre à chaque film.

Dwight Clive Owen (Dwight)

Ainsi, chacun des protagonistes a sa propre personnalité le rendant plus ou moins attachant, et même le plus "pourri" des personnages est suffisamment bien travaillé pour nous permettre de comprendre ses travers et la violence qui l'anime. Ce très gros travail de fond est porté à l'écran par une pléiade d'acteurs confirmés qui donnent vie à ces anti-héros très charismatiques. Rosario Dawson, Jessica Alba, Bruce Willis, le retour en grâce de Mickey Rourke, Mickael Madsen, Benicio Del Toro, Clive Owen, Brittany Murphy et tant d'autres sont conviés au casting 5 étoiles du film.

marv Mickey Rourke (Marv)

L'environnement en lui même est un mélange de paradoxes et de vices. Les autorités et le clergé se partagent la domination de la ville grâce à la corruption et autres malversations. Les quartiers sont laissés à la merci des classes pauvres qui ne subsistent que grâce au trafic et à la prostitution tout en fixant leurs propres règles: quiconque déroge à ces règles se voit offrir un bain dans les marais. Vous l'aurez compris, Sin City ne fait pas dans la dentelle et ça tombe bien, ce n'est pas ce qu'on lui demande. Toutes les scènes ont été tournées sur fond-bleu ce qui permet d'offrir un univers cohérent tout en laissant libre cours à l'imagination du réalisateur et du dessinateur, le résultat à l'écran est magnifique. Certains plans sont sublimes et donnent vraiment l'impression de regarder une BD. Si tout le film peut sembler en noir et blanc, on s'aperçoit vite que le dessinateur a donné à son oeuvre quelques touches de couleur, visant à mettre en valeur certaines caractéristiques physiques ou simplement afin d'accentuer certaines émotions des protagonistes.

danse2 Jessica Alba (Nancy Callahan)

Esthétiquement magnifique, filmé sur la base de trois histoires  (Marv', Dwight et Hartigan) elles-mêmes centrées sur plusieurs thèmes: la vengeance, l'honneur, l'amour... le film est à voir au moins une fois dans sa vie ne serait-ce que pour sa richesse. Rodriguez et Miller inventent un nouveau style de polar: plus dynamique, plus sombre et fabuleusement beau.

Hartigan Bruce Willis (Hartigan)

L'adaptation de la BD devrait comporter trois actes dont le deuxième qui pointera son nez en 2009 ... Si tout va bien.



oeil2                              

13 avril 2008

New-York: Unité Spéciale

"Dans le système judiciaire, les crimes sexuels sont considérés comme particulièrement monstrueux. À New York, les inspecteurs qui enquêtent sur ces crimes sont membres d'une unité d'élite appelée Unité spéciale pour les victimes. Voici leurs histoires..."

Scène d'ouverture, générique, l'épisode commence. On frissonne d'impatience à l'idée de retrouver les nouvelles aventures de Benson et Stabler en espérant chaque soir que l'épisode ne se finisse pas trop vite. Malheureusement, les 45minutes passent beaucoup trop vite lorsqu'on est plongé dans la série. Et quelle série!!
L'USV est une équipe de choc se spécialisant dans les crimes à caractère sexuels (viols, meurtres, agression ...) commis dans l'état de New-York. Cette brigade, dirigée par le capitaine Donald "Don" Cragen dispose d'un personnel réduit mais ô combien efficace. Petit tour des protagonistes.

Elliot Stabler: Père divorcé de quatre enfants, ce flic aux méthodes parfois musclées se montre intraitable dans son travail. Balancé entre sa vie de famille et son boulot, il n'aura de cesse de vouloir concilier les deux, sans grande réussite. Particulièrement concerné par les affaires liées à la maltraitance à enfant, il n'hésite pas à faire quelques entorses au règlement ou à recourir à des méthodes quelque peu viriles pour finir son enquête.

Olivia Benson: Enfant du viol, élevée par une mère alcoolique, Olivia s'est tournée, logiquement, vers la brigade de l'USV afin d'éviter à d'autres personnes de subir les mêmes douleurs qu'elle a connues plus jeune. Toujours très proche des victimes et très affectée par chaque enquête, elle essaiera, tout comme Elliot, de mettre une barrière entre son travail et ses émotions. Professionnelle, méthodique et ayant une ligne de conduite irréprochable, elle saura apaiser son équipier si le besoin s'en fait sentir.

Donald Cragen: Capitaine de la section de l'USV. Très proche de ses hommes, Cragen sait parfaitement protéger ceux-ci si les ennuis se profilent. N'hésitant pas à faire jouer ses relations, ou à prendre fait et cause pour les membres de sa brigade, il est à la fois respecté et apprécié.

John Munch: Sous son attitude nonchalante et son humour grinçant se cache un détective rigoureux et malin. Ce multi-divorcé offre à tous ses coéquipiers son expérience de la vie et fait partager à tous sa grande intelligence. Quand il n'est pas sur le terrain, il s'occupe de vérifier et distiller les sources et les informations à ses collègues.

Odafin Tutuola: Ancien de la brigade des STUPS, Tutuola est un flic ultra professionnel et combattif. Il n'hésite pas à employer la force si le suspect se montre trop énergique mais sans jamais passer au dessus des lois. Père d'un jeune garçon avec qui il a des relations houleuses.

George Huang: Comportementaliste et psychologue de l'USV, Huang est un des personnages essentiel à l'équipe. Ses analyses et son expérience du comportement chez l'enfant ou l'adulte permettent bien souvent de percer à jour les secrets des principaux suspects ou victimes.

Alexandra Cabot: Procureur en charge de l'USV, Cabot est une femme à l'apparence froide mais qui n'hésite pas, pour mener à bien certaines enquêtes, à se mettre aux limites de la loi. Proche du juge Donnelly, elle n'hésitera pas à lui demander conseil si certains points de l'enquête semblent obscurs. Elle mettra en scène sa propre mort à la fin de la saison 5 sans en avoir informé quiconque. La brigade, d'abord sous le choc de sa disparition aura, par la suite, du mal à pardonner ce manque de confiance.

Casey Novak: Procureur de l'USV depuis le départ de Cabot, Novak aura du mal à se faire accepter par l'unité, tant sa rigueur lui fera défendre et gagner des procès aberrants. Professionnelle jusqu'au-boutiste, Novak est une femme forte, toujours professionnelle  qui n'a de cesse que de faire au mieux son travail, quitte à défendre l'indéfendable.

Melinda Warner: Médecin légiste de l'équipe, Warner est une personne très appréciée au sein de la brigade de par son remarquable travail et sa disponibilité de tous les instants. Souvent appelée à témoigner, elle ne faut jamais à son devoir.


Cette série très noire aborde beaucoup de sujets tabous: la drogue et la violence dans les lycées, les amours impossibles, les tracas de l'enfance, les violences familiales ... sans jamais tomber dans le voyeurisme malsain ou la surenchère glauque. Cette prouesse est due au talent des scénaristes, à l'interprétation tout en finesse des principaux acteurs et à une trame parfaitement maîtrisée qui pousse le spectateur à éprouver des émotions, soit pour les victimes, soit pour les suspects. Certains épisodes innovent, notamment un qui permettait au spectateur lui-même de choisir le verdict. La scène finale plaçait l'accusé devant les jury et au moment du verdict final le spectateur devait voter pour l'acquittement où non du suspect. Les derniers épisodes se penchent un peu plus sur les tracas personnels du tandem Benson-Stabler afin de donner à la série une touche plus "humaine" sans jamais empiéter sur les enquêtes. Une série qui affiche une étonnante longévité et qui en est déjà à la dixième saison, une preuve supplémentaire de l'intérêt des spectateurs pour cette série réaliste. Un vrai régal.   

8 avril 2008

Ça mange pas de pain.

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